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Week-end insolite en Mayenne : rencontre avec Frédéric Bonnand autour du cheval et de la botanique

par Adeline
Publié Mis à jour le

À mi-chemin entre Paris et Nantes, la Mayenne est un îlot de nature verdoyante, une destination idéale pour un week-end insolite, reposant et ressourçant, loin de l’agitation urbaine. Dans les Coëvrons, au nord-est de Laval, Frédéric Bonnand propose des séjours écotouristiques autour des chevaux, d’une chambre d’hôte et d’un logement insolite. Je suis allée à sa rencontre au Domaine des Pierres Jumelles à Sainte-Gemmes-le-Robert, où il m’a présenté d’autres personnalités coëvronaises autour de la botanique et du bien-être.

Préambule à ce week-end insolite en Mayenne

Vous savez que j’aime les belles histoires et les jolies rencontres, non ? A l’heure où le tourisme et nos relations sociales sont mis à mal par la pandémie et les confinements successifs, j’ai souhaité aller à la rencontre de ceux qui travaillent autour du tourisme en Mayenne. J’ai voulu aller plus loin que l’image carte postale que nous partageons sur les réseaux sociaux pour faire du « j’aime », et frapper aux portes, partager une activité ou un repas et échanger. J’ai eu envie de prendre le temps de m’intéresser à ces personnalités qui font la richesse de ce territoire.

Derrière les murs d’une ferme, d’une chambre d’hôte, d’un restaurant, ou d’une ville, se dévoilent des personnages et de merveilleuses histoires de changement de trajectoire. Le temps d’un week-end, ils m’ont ouvert leur porte, et partagé avec moi des instants de vie.

Que ce soit ici à Sainte-Gemmes-le-Robert avec Frédéric ou plus tard à Sainte-Suzanne avec Dominique et Éric, j’ai rencontré d’irrésistibles gaulois, de naissance ou d’adoption, qui ont su me transmettre leur amour pour ce territoire rural et chaleureux qu’est la Mayenne.

A mon tour de vous conter leur Mayenne, cette terre où les habitants vivent un peu cachés mais totalement connectés à la nature et leur environnement. Une région idéale pour ceux qui aiment prendre le temps. En bon français, il parait que l’on appelle cela le slowtourisme !

Avec Frédéric Bonnand, au plus près de la nature et des chevaux

Frédéric Bonnand a eu plusieurs vies ! Originaire de Touraine dans le Val de Loire, il se passionne pour les chevaux dès son adolescence, et passe un brevet d’état d’accompagnateur de tourisme équestre dont il ne fait pas grand chose à l’époque. Son premier métier est accordeur de piano, comme ses frères, « mais on ne vit pas vraiment de ce métier, il est assez précaire » me dit-il. Il devient alors conducteur de travaux, un métier qu’il abandonne après 15 ans pour monter sa structure écotouristique autour d’une chambre d’hôte, de logements insolites et de balades à cheval en Mayenne.

Frédéric Bonnand
Frédéric Bonnand propose des balades à cheval au Domaine des Pierres Jumelles

Installé dans sa ferme à Sainte-Gemmes-le-Robert avec sa compagne Véronique et ses jumelles, « c’est le lieu qui a fait le projet » me dit-il.

Bien conscient que son brevet d’accompagnateur équestre est loin derrière lui, il part faire un stage dans un centre équestre pour se remettre à niveau et parfaire son projet.

Parallèlement, il achète des chevaux à qui il offre une seconde vie, monte une chambre d’hôte et un logement insolite.

Ce qu’il veut, c’est connecter ses hôtes à la nature et les faire entrer en communication avec le cheval. Les 3 valeurs fondatrices de son activité sont l’écologie, le partage et l’éthique. Au domaine des Pierres Jumelles, les balades se font en petit groupe : 5 personnes maximum. Il veut prendre le temps de partager sa passion pour l’éthologie, oublier la technique apprise dans les carrières et se concentrer sur le rapport entre l’homme et le cheval.

Logement insolite, un réveil avec les chevaux

C’est dans le Kerterre, cette petite maison de Hobbit située dans le pré des chevaux, que je m’installe pour la nuit. Tranquille au milieu de la nature, le bonheur !

Logement insolite en Mayenne
Le Kerterre, le logement du domaine des Pierres Jumelles est à situé dans le pré des chevaux

L’aménagement est assez simple. D’une superficie de 5m2, on y trouve un lit pour 2 personnes, un petit poêle à bois pour les fraiches soirées, des toilettes sèches installées à l’arrière et une table à l’extérieur pour le petit-déjeuner. Un joli bouquet printanier composé de jonquilles et de lilas m’attend.

L’histoire de ce logement insolite est en totale adéquation avec les valeurs de Frédéric puisque la construction a été participative et les matières utilisées sont naturelles et recyclées, comme la porte réalisée avec des anciennes lames de parquet.

A date, Frédéric Bonnand propose un seul logement insolite. Son idée est d’en construire 4 maximum, pour rester dans ses valeurs de partage et d’écoresponsabilité. Il veut surtout que les clients aient toujours l’impression de dormir à la ferme et non dans une industrie touristique. Il vient de finaliser un financement participatif qui va lui permettre de construire une hutte amérindienne.

Avant mon arrivée, Frédéric avait pris soin de déplacer les chevaux dans le pré dans lequel se trouve le Kerterre afin que je puisse les avoir à côté de moi au petit matin. A l’heure du lever du soleil, ils sont apparus à travers le hublot de la porte. Je n’ai pas pu résister à l’idée d’aller les voir et passer un moment seule avec eux, dans ce pré où les rayons du soleil rasaient l’herbe encore gelée.

la jument, curieuse de me voir dans son pré
le shetland et l’Alezan qui se chamaillaient

Avant même que Frédéric partage avec moi quelques notions d’éthologie, j’ai pu faire l’expérience de la curiosité des chevaux, de leur indifférence aussi. C’est assez enrichissant et apaisant de se poser autour d’eux, les observer et voir comment ils interagissent entre eux ou avec l’homme. Le shetland et l’Alezan n’arrêtaient pas de se chamailler, quand les deux petits shetlands noirs étaient inséparables l’un de l’autre et se câlinaient. Au bout d’une heure je leur étais devenue indifférente, comme intégrée au troupeau.

Caresse du matin
Calin des aurores

J’ai adoré ce moment seule avec eux, à les observer, les laisser venir à moi, repartir. Revenir. Ils étaient curieux et moi aussi !

Balade éthologique, une rencontre entre le cheval et l’homme

Après le petit-déjeuner, où j’ai pu goûter les confitures faites maison, dont une à base de pissenlit, place au moment fort de mon séjour : la balade éthologique. Si j’aime beaucoup les chevaux et être à leur contact, monter dessus et faire des balades est plus compliqué. J’ai peur de certaines réactions du cheval et surtout ne pas savoir les gérer, du coup de tomber et me faire mal. J’en avais fait part à Frédéric qui m’a donc proposé de faire sa balade éthologique afin de me connecter au cheval avant de monter dessus.

La balade éthologique ou comment connecter l’homme au cheval

Cette sortie à cheval dure 2 heures environ qui sont réparties en deux séquences. La première se déroule dans le pré pour étudier le comportement des chevaux, puis dans la carrière pour les préparer puis apprendre à se faire respecter. La seconde est la balade dans les bois alentours.

Le troupeau dans le pré au petit matin

Une fois dans le pré, Frédéric me dit « les chevaux sont fait pour vivre en troupeau. A l’intérieur de celui-ci il y a une hiérarchie » et soudain tout ce que j’ai vécu seule avec eux au petit matin prend du sens. Nous passons quelques minutes à les observer. Frédéric m’explique le caractère de chacun et leurs réactions les uns vis-à-vis des autres. C’est fascinant. Alors qu’un jeune sheltland devenait un peu trop joueur et bruyant, la jument dominante est venue calmer ses ardeurs. Un instant de vie sauvage vécu en direct !

Frédéric récompense son cheval après la balade

Je vais monter la jument dominante. Frédéric lui, montera un étalon avec qui elle s’entend bien, l’autre dominant du troupeau. Rien n’est laissé au hasard dans ces balades. Après ce petit temps d’observation, nous partons à la rencontre de nos deux montures, à qui nous glissons doucement un licol autour de la tête. Frédéric a fait le choix de ne pas utiliser de mord car « c’est moins traumatisant pour le cheval, notamment avec des cavaliers débutants » me précise t-il. Les chevaux ne sont pas ferrés non plus. « ça a demandé beaucoup de travail de supprimer tout cela » mais aujourd’hui il est content du bien être de ses animaux.

Une fois le licol passé, je dois être maitre de mon cheval et Frédéric m’apprend comment faire pour ne pas me laisser dépasser. Une fois dans la carrière, je récompense ma jument avant de m’en occuper : la brosser, lui nettoyer les sabots et la seller. Ensuite nous faisons quelques exercices à pied pour apprendre à bouger avec l’animal. Je n’avais pas conscience à quel point le cheval était en fusion avec l’homme. Celui-ci arrive à lire dans nos pensées et son attitude est en corrélation avec celles-ci. Si vous n’êtes pas connecté à ce que vous voulez faire, le cheval ne réagit pas de la bonne manière. Il ne faut donc pas avoir d’hésitation, être clair dans ses intentions pour que celui-ci réagisse correctement à nos désirs et nos ordres, tout cela dans le respect de l’animal bien sûr. C’est fascinant !

Pédagogie et éthique

Une fois connectée à la jument, c’est l’heure de partir en balade. Je monte dessus et c’est parti ! Je vous rassure tout s’est super bien passé. Frédéric est super pédagogue, il explique tout le processus, est prévenant et donne confiance. C’est vraiment ce dont j’avais besoin pour me rassurer et pouvoir remonter sereinement sur un cheval.

Balade à cheval sur les sentiers aux alentours du domaine des Pierres Jumelles

Une fois de retour, nous enlevons les selles des chevaux. Une fois détaché celui de Frédéric fonce se rouler dans la carrière. « C’est son petit rituel » me dit-il.

J’ai fait quelques balades à cheval par le passé, ce que j’ai aimé dans celle-ci, c’est que tout est fait dans le respect du cheval et une grande partie est consacrée à l’apprentissage. Ce n’est pas une Nième balade mais bien l’idée de partager un moment avec une bête fascinante. Une balade à cheval profondément éthique.

Botanique autour des fleurs sauvages comestibles avec Marie Girard

Lorsque nous avons préparé mon séjour, Frédéric m’a proposé de rencontrer Marie Girard, une voisine botaniste qui organise des sorties autour des fleurs sauvages comestibles. Elle nous reçoit dans son jardin dans lequel se cachent de nombreux trésors de la nature.

Marie Girard dans son jardin à Sainte-gemmes-le-Robert

Avant de commencer, elle nous sert une tisane. « Vous avez deviné la plante utilisé pour cette tisane ? » nous demande t-elle. C’était un goût inconnu pour moi et pourtant j’en bois des tisanes ! Elle était à base d’orties, normal que je ne reconnaisse pas car je n’avais jamais testé. C’était très bon !

Avant de partir, Marie nous confie à chacun un petit panier et un couteau. « Oh nous n’allons pas aller bien loin » nous dit-elle « mais ne serait-ce que dans ce petit espace, nous allons voir d’innombrables plantes. Ce sera à vous de cueillir et goûter ». 3 pas et nous voilà déjà arrêtés ! « Que voyez-vous ici ? »

Plantes sauvages en Mayenne
Parterre de plantes sauvages
La grande berce
Zoom sur la stellaire holostée

Au fil de notre marche, Marie fait appel à nos sens et nos souvenir d’enfance. Elle nous fait goûter plantes et fleurs, nous explique ce que l’on peut faire avec, quand et comment les manger, mais surtout nous apprend à les observer. « La botanique ça s’apprend, il faut faire très attention parce que certaines plantes se ressemblent et se confondent. Certaines sont toxiques, d’autres peuvent créer des réactions allergiques. Il ne faut surtout pas goûter avant d’être sûr qu’une plante est comestible ». En exemple, elle nous parle de la grande berce à manger « comme des asperges », à ne surtout pas confondre avec la berce du Caucase qui elle est une plante photosensibilisante qui peut créer des brûlures.

Bourse à pasteur
La bourse à pasteur et ses petits coeurs !

Cette balade est un joli moment de poésie. Outre le goût, le nom des plantes est fascinant. Avez-vous déjà entendu parler du nombril de Vénus ou de la bourse-à-pasteur ? La première est une plante qui ressemble à la feuille de capucine, enfin je trouve. Elle peut servir d’assiette au pesto ou à une noix de terre ! La bourse-à-pasteur elle, pousse au milieu des pré. Sur ses tiges se forment des petites bourses en forme de coeurs ! Elle est trop belle… Romantique !

Pestos de plantes sauvages servis sur un nombril de Vénus

J’étais cette petite fille qui mangeait de l’oseille sauvage avec ma grand-mère, ou qui butinait les fleurs de coucous au printemps quand j’allais me balader à vélo. Devenue plus urbaine, je me suis désintéressée des plantes sauvages comestibles. A regrets !

Maintenant j’ai quelques notions « pour embellir mes salades de fleurs sauvages » ou  » pour leur donner un goût différent avec un bouton de pâquerette ou un bouton de stellaire holostée « . Je sais aussi que l’on peut faire un bon pesto à base de lamier pourpre ou de lierre terrestre et le servir sur un nombril de Vénus. Ce qui est sûr c’est que j’observe aujourd’hui la nature différemment et j’essaye de retrouver ces plantes quand je me balade chez moi à Nantes, sur les bords de l’Erdre.

Si vous prévoyez un séjour en Mayenne, je vous invite vivement d’aller à la rencontre de Marie. Elle fait des ateliers un peu partout dans le département. Les dates se trouvent sur son site internet mariegirard.com. Elle devait en faire un en mai au château de Sainte-Suzanne « dont la cour est pleine de plantes sauvages ». La date est à confirmer en raison de la Covid19.

Petra, la magicienne aux mains de fée

Cette rencontre est surprenante. Originaire de République Tchèque, Petra a une formation d’esthéticienne et de masseuse. Passionnée de voyages, elle a beaucoup voyagé seule à travers l’Europe, l’Asie ou l’Océanie. Coïncidence ! Ses divers longs séjours à l’étranger lui ont permis de se perfectionner à de nouvelles techniques comme en Islande où elle s’est formée au massage aux pierres chaudes.

C’est l’amour qui l’a conduite en Mayenne. Aujourd’hui elle est installée à Mézangers, à quelques kilomètres de chez Frédéric. Ses mains sont magiques et terminer un séjour « cheval, nature et bien-être en Mayenne » par un massage, c’est quand même une belle idée. Ses mains sont magiques et franchement j’ai passé un moment de détente totale.

Petra, masseuse et esthéticienne dans les Coëvrons

Que vous habitiez dans les Coëvrons ou que vous soyez juste de passage, je vous invite à regarder son site internet Petra Relaxation et peut-être tester ses mains de fée.

Pique-Nique au Montaigu, point de vue sur les Coëvrons

Avant de poursuivre ma route vers Sainte-Suzanne, Frédéric tient à me faire découvrir la butte du Montaigu, un lieu situé sur le chemin du pèlerinage au Mont-Saint-Michel. Il aime beaucoup ce point de vue où il emmène les cavaliers avertis lors de ses balades. J’étais trop novice pour m’y rendre à cheval mais je suis heureuse d’y être allée, surtout que l’on distingue la chapelle au loin depuis son Kerterre, le logement insolite où j’ai dormi !

Montaigu, un site situé sur le chemin de pèlerinage du Mont-Saint-Michel
Pique-nique au Montaigu
Vue brumeuse sur la campagne mayennaise

De là-haut, la vue est magnifique, même si c’était un peu brumeux ce jour-là ! Au loin il me montre où il habite. Champs de colza, prés et secteurs boisés, c’est l’endroit idéal pour prendre de la hauteur sur la nature Mayennaise.

C’est un lieu sympa pour pique-niquer, il y a même une petite table. Attention le lieu est exposé au vent, alors il vaut mieux prévoir un manteau, ou de déjeuner un peu plus bas un refuge prévu à cet effet.

Départ vers d’autres aventures à Sainte-Suzanne

C’est déjà l’heure de quitter Frédéric, Véronique et les jumelles. Avec eux j’ai apprécié la vie en pleine nature, le contact avec les chevaux et la vie en adéquation avec mon environnement ! Le temps n’a pas eu d’emprise sur moi et je crois que c’est tout dont j’avais besoin. A 2h30 de Paris et de Nantes, le bonheur est dans la nature !

Il est l’heure de poursuivre ma route vers Sainte-Suzanne où une aventure internationale et artistique m’attend. Cet autre séjour m’a fait voyager de l’autre côté de l’Atlantique et de la Manche, tout en restant en Mayenne ! Je maintiens le suspens…

Affaire à suivre !

Organiser son week-end insolite en Mayenne : conseils pratiques

La Mayenne est un département des Pays de la Loire situé entre la Sarthe et l’Ille-et-Vilaine, en gros entre le Mans et Rennes.

Comment aller dans les Coëvrons ?

Techniquement ce petit coin de Mayenne est rapidement accessible en train depuis Paris (1h30 depuis la gare Montparnasse). La gare de Laval et celle d’Evron sont les deux gares les plus proches de Sainte-Gemmes-le-Robert. Ceci étant, dans ce territoire rural mieux avoir une voiture pour se déplacer.

La Mayenne en voiture depuis Nantes

Depuis Nantes, le plus facile est de prendre l’A11 jusqu’à la sortie Laval/Segré/Candé/Ancenis puis la D923 et la D20. Il faut entre 2h et 2h20 pour y arriver.

La Mayenne en voiture depuis Paris

Depuis Paris, il faut prendre l’A10, l’A11 puis bifurquer vers l’A81 au Mans. A la sortie N°1, suivre une succession de départementales jusqu’à Sainte-Gemmes-le-Robert. Je vous laisse suivre votre GPS car si vous suivez mes conseils, vous n’êtes pas près d’arriver 😉

Accès pour Van ou Camping Car

Si vous avez envie de visiter la Mayenne en Van ou en Camping Car, sachez que Frédéric a installé chez lui une aire pour se garer. Il est en train de construire les sanitaires par contre il ne fait pas le traitement des eaux usées. Vous trouverez l’emplacement sur Park4night.

Où manger autour de Sainte-Gemmes-le-Robert ?

Vous recommander des restaurants en ce moment n’est pas chose facile ! Durant ce séjour, nous avons fait de la vente à emporter auprès de l’hôtel-restaurant la Croix verte à Neau-en-Mayenne qui assure aussi un service de traiteur. Vous y trouverez une cuisine traditionnelle de qualité.

Reportage réalisé avec l’aide de l’office de tourisme Sainte-Suzanne les Coëvrons, la communauté de commune des Coëvrons et le soutien du conseil départemental de la Mayenne

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2 commentaire

Alexandra @Itinera magica jeudi 29 avril 2021 - 13:54

J’aime beaucoup cet article et tout particulièrement les chevaux 😉 belles rencontres, beaux partages, slow tourism prend tout son sens et invite à une vraie découverte…

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Adeline jeudi 29 avril 2021 - 20:55

Merci beaucoup Alexandra. J’ai passé un merveilleux séjour chez Frédéric. C’est tellement apaisant d’être au contact des chevaux !

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