Table des matières
Vous êtes plutôt 24h du Mans ou passer 24h au Mans ? Après la Mayenne, je continue mon exploration des Pays de la Loire et c’est en Sarthe que je me suis arrêtée. Facilement accessible depuis depuis Paris, Nantes, Angers ou Rennes, Le Mans est une invitation au voyage dans le temps. Classée Ville d’art et d’histoire, elle vous surprend par son magnifique centre historique médiéval, ses musées et sa nature facilement accessible. C’est l’étape incontournable d‘un long week-end au vert dans la Sarthe. Suivez le guide !
Liens utiles pour organiser son séjour dans la Sarthe & autour de la Loire
Le Mans : visite de la cité Plantagenêt
Le vieux Mans est surprenant ! Ceinturé par l’une des enceintes romaines les mieux conservées de l’ancien empire romain, la médiévale cité Plantagenêt se découvre en flânant, de rues en ruelles et le nez en l’air pour ne manquer aucun détail de ses façades à pan-de-bois et de sa cathédrale Saint-Julien.
La cathédrale Saint-Julien, mi-romane, mi-gothique
La visite commence par l’imposante cathédrale Saint-Julien. Mi-romane, mi-gothique, elle est très singulière. Son histoire débute au Vème siècle mais c’est à partir du XIème, sous la dynastie des Plantagenêts, que commence à se dessiner son architecture actuelle. Romane par sa façade occidentale et sa nef, c’est avec l’accord de Philippe Auguste qu’elle sera agrandie avec un choeur entouré de 13 chapelles gothiques, dont la sublime Chapelle des Anges musiciens.
La cathédrale Saint-Julien est lumineuse. C’est en grande partie dû à ses vitraux parmi lesquels se trouve, dans sa nef, le plus ancien vitrail en place dans un édifice religieux. L’Ascension a été réalisé à la fin du XIè et début du XIIè siècle. Parmi les vitraux, il faut aussi voir le vitrail de la vie Jeanne d’Arc, fabriqué au Mans en 1920, et la grande rosace du transept nord qui fait face aux grande orgues, que j’ai eu la chance d’entendre durant ma visite.
Le porche royal construit en 1158 fait partie aussi des incontournables à voir dans cette cathédrale.
Balade dans la cité Plantagenêt et ses jolies maisons à pan-de-bois
Construites entre les XVè et XVIè siècles, les maisons à pan-de-bois caractérisent le vieux Mans, appelé aujourd’hui la cité plantagenêt. C’est d’ailleurs, selon la guide Nathalie Jupin avec qui j’ai visité la ville, « ici que l’on trouve la plus grande concentration de maisons à pan-de-bois de France ». On en dénombre plus d’une centaine.
Parmi les plus remarquables se trouvent la maison du Pilier-Rouge qui héberge le service Tourisme et Patrimoine de la ville du Mans, la maison du Pilier-Vert, la maison du Pilier-aux-clefs et la maison suspendue, immortalisée en 1962 par le photographe Robert Doisneau. A la fenêtre, on peut voir un ours en peluche qui semble nous faire coucou, c’est un clin d’oeil à cette photo où une petite fille tenait un ourson dans ses bras.
La cité Plantagenêt revient de loin puisque dans les années 1970, un plan d’urbanisation avait prévu la destruction de ce quartier qui tombait en ruine, et était plutôt mal famé. Aujourd’hui c’est un coeur historique rénové et surtout habité par de vrais passionnés dont fait partie Madame Le Priol, la propriétaire de la chambre d’hôte la maison Saint-Pierre où j’ai dormi lors de ce séjour au Mans (je vous en dis plus au bas de cet article).
L’enceinte romaine du Mans
Je n’ai pas eu le temps d’aller me promener le long de l’enceinte romaine située en contrebas du carré Plantagenêt. C’est mon grand regret de cette visite du Mans car c’est l’une des mieux conservées de l’ancien empire romain, avec celles de Rome et de Constantinople. Construite entre 270 et 310, elle ceinturait la ville sur plus d’un kilomètre. Aujourd’hui il en reste une section de 500m. Les travaux autour de la cathédrale ont aussi permis d’en découvrir une nouvelle portion, pas encore visible du public car les fouilles ne sont pas encore terminées.
La ville candidate actuellement à l’inscription de cette enceinte sur la liste du Patrimoine Mondiale de l’Unesco, ce qui donnerait un rayonnement plus large au Mans, une ville qui mérite que l’on gratte un peu au-delà de ses 24 heures et de ses rillettes, néanmoins délicieuses !
La Visitation & Le Fonds International d’Arts Actuels (FIAA)
C’est au sein de la Visitation, un couvent construit au XVIIIème siècle puis transformé en caserne puis prison après la Révolution Française, aujourd’hui réhabilité en lieu de vie où l’on trouve bars, restaurants et commerces, que se trouve le FIAA, le Fonds International d’Arts Actuels.
Ouvert en septembre 2020, ce centre dédié à l’art contemporain accueille l’une de ses premières expositions autour de Victor Vasarely. Inventeur de l’art optique, l’artiste s’est attaché durant sa vie à faire entrer l’art au sein de l’industrie, d’où le thème « Vasarely, art et industrie » (à voir jusqu’au 25 septembre 2021). Il a d’ailleurs dessiné le logo de Renault en 1972 et développé une plus large gamme de couleurs pour Lefranc-Bourgeois, deux entreprises implantées au Mans.
C’est un lieu à découvrir pour tout amateur d’art contemporain. Le bâtiment à l’architecture moderne, s’intègre à celle de la Visitation et de l’hôtel 4* situé juste à côté.
Bulle, le palais de la bande dessinée au Mans
Tous les amateurs de BD connaissent certainement Bulle, une librairie qui rayonne bien au-delà du Mans. Elle a été créé en 1983 par Samuel Chauveau, un passionné qui avait la volonté de promouvoir la bande dessinée comme un art à part entière. Initialement située dans le coeur historique, elle a déménagé dans un sublime bâtiment industriel qui se trouve à mi-chemin entre la cité Plantagenêt et la Visitation. Les fans de BD doivent y passer des heures à chercher la perle rare !
Pour donner encore plus de place aux auteurs, Samuel a créé au coin de la rue Espace Bis, un lieu dédié aux rencontres, aux dédicaces, aux expositions et à la sérigraphie. Situé 18 rue Saint-Martin, il est ouvert tous les après-midi à partir de 13h en semaine et le matin et l’après-midi le samedi.
Déjeuner au domaine de l’Epau
Il est temps de quitter le centre ville pour aller déjeuner au Domaine de l’Epau, un restaurant situé aux portes du Mans, juste à côté de l’Abbaye Royale et au coeur de l’Arche de la nature, un domaine de 500 ha à découvrir en randonnée à pied ou à vélo. C’est le grand poumon vert du Mans.
Restaurant Le Verger : cuisine raffinée et gourmande
Avec sa grande terrasse en bois, c’est un lieu agréable où déjeuner aux beaux jours. Ici la carte est réduite à 3 choix d’entrées, de plats et de desserts, et imaginée avec des produits locaux et de saisons. Au Verger la cuisine est raffinée et gourmande, c’est une adresse que je recommande avant d’aller visiter l’abbaye ou de se promener dans l’arche de la nature.
Des écolodges et hébergements insolites en construction
Le domaine de l’Epau est en train de construire deux types de logements, insolites et écolodges, pour offrir à ceux qui le souhaitent, une escapade en pleine nature aux portes de la ville. Le Mans étant situé à 50mn de Paris et à proximité de plusieurs grandes villes de l’ouest de la France, je pense qu’ils auront du succès !
L’Abbaye Royale de l’Epau, une visite nature et culture
L’Abbaye cistercienne de l’Epau se trouve aux portes du Mans. Elle a été fondée en 1230 par la Reine Bérangère de Navarre, veuve de Richard coeur de Lion. Elle meurt cette année-là et n’aura jamais vu l’abbaye mais y sera enterrée.
L’Abbaye cistercienne, une architecture épurée, une vie en autarcie
Comme toute architecture cistercienne, l’Abbaye Royale de l’Epau est très épurée. Les moines y vivaient en autarcie, dans la pauvreté et le dénuement. Leurs journées étaient rythmées par les prières, le travail, principalement agricole et la copie de manuscrits, les repas et le repos. Tout cela dans le silence ! Elle sera occupée par des moines jusqu’à la Révolution Française.
Puis, après avoir abrité une blanchisserie, servi de lieu de stockage et été occupée par l’armée allemande, elle est vendue en 1959 au département de la Sarthe par les orphelins d’Auteuil, ses derniers propriétaires. L’ambition affichée depuis ce rachat est d’en faire un haut lieu culturel.
La visite se fait en autonomie avec un guide de visite papier très bien réalisé. On découvre alors le cloître, le réfectoire, la sacristie, l’église abbatiale où se trouve le gisant de Bérangère de Navarre, le dortoir pour finir par le parc et les jardins.
Evénements et expositions temporaires à l’Abbaye de l’Epau
Fidèle à la volonté d’en faire un lieu culturel, de nombreux événements sont organisés tout au long de l’année. Il y a par exemple un festival consacré à la musique classique, des rendez-vous de la BD mais aussi de nombreuses expositions.
Actuellement deux expositions sont en cours :
- Trésors d’art Sacré dans l’abbatiale. Elle présente la peinture religieuse Mancelle du XVIIème siècle. Toutes les oeuvres exposées proviennent de différentes églises de la Sarthe, et ont toutes été rénovées ces 30 dernières années. Il faut aimer le genre mais j’ai trouvé ça assez intéressant. Elle est à voir jusqu’au 19 septembre 2021
- Les jardins accueillent un parcours photographique à ciel ouvert avec les oeuvres de 7 artistes dont Robert Doisneau. A voir jusqu’au 31 octobre 2021.
Le parc et les jardins permacoles
Le dernier projet de l’abbaye de l’Epau, a été de créer des jardins pour rappeler l’époque des moines cisterciens qui cultivaient la terre autour de 4 espaces : le jardin de plantes médicinales, le potager, le verger et le jardin du cloître.
Ici il a été choisi de créer un jardin en permaculture. Autour de la mare, vous verrez donc différentes zones qui, vues du ciel reconstituent la rosace de l’abbatiale ! On y trouve aussi un verger avec pommiers et poiriers, un rucher et une serre.
Ce qui y est produit est servi au Café des moines situé dans le passage charretier, un café qui privilégie le circuit court.
La visite de l’abbaye Royale de l’Epau m’a fait pensé aux différentes visites des monuments du National Trust au Royaume-Uni, où tout est fait pour faire rester les visiteurs dans l’enceinte des bâtiments visités. Bien que sublime, l’abbaye est épurée et la visite en elle-même peut se faire en moins d’une heure. Par contre, le parc et les expositions temporaires, donnent envie de s’y promener, d’y rester et d’y retourner encore et encore. Le cadre est sublime et l’abbaye ayant obtenu le label de refuge de la Ligue pour la protection des Oiseaux, ça chante à tue-tête dans le parc. C’est très apaisant !
Pause à la brasserie Septante-deux
Retour en ville pour aller à la rencontre de Clovis Richard, l’un des trois fondateurs de la brasserie Septante-deux. Ces trois copains de lycée commencent à brasser « avec deux casseroles » dans le garage des parents de Maxime et Joffray, les deux frères à l’origine du projet. Le brasseur, c’est Maxime. Formé au métier à La Rochelle, il part ensuite en Belgique pour ses études de journalisme. La bière le rattrape lorsqu’il pousse la porte de la brasserie familiale bruxelloise Cantillon, découvre le gueuze et ce qui devait n’être qu’un job d’été, se transforme en un travail de deux ans.
En 2017, il décide avec son frère de créer une micro-brasserie citadine qu’ils nomment Septante-deux, « en écho à son expérience en Belgique » puis Maxime les rejoint dans ce projet. « A l’origine ce n’était pas un bar mais plutôt un local où les manceaux pouvaient venir voir comment on fabrique la bière artisanale, la déguster et repartir avec leurs packs sous le bras » me confie Clovis.
Victimes de leur succès, le local devient trop petit et ils ont le désir de créer une brasserie urbaine avec un bar, dans le centre du Mans. Leur concept voit le jour en janvier 2020 au 21 Rue du Dr Leroy. Les cuves sont installées côté rue, pour que tout le monde puisse voir comment on brasse la bière depuis la terrasse, et le bar est à l’arrière, avec deux salles à l’étage.
Si vous passez au Mans, je vous invite à visiter la brasserie car « partager, en parler fait partie de l’expérience du lieu » m’a dit Clovis. Dans une atmosphère industrielle, vous pourrez ensuite faire une petite dégustation, puis vous installer en terrasse et méditer sur le nom des bières, toutes des « figures de style » ! Zeugma, Litote, Allégorie, à vous de choisir la bière qui fera voyager vos papilles jusqu’en Belgique, tout en restant au Mans !
Découverte de la Sarthe et de son histoire sur une toue sablière
Envie de découvrir comment la rivière Sarthe a façonné le Mans ? Alors je vous invite à rejoindre Jean-Yves Lucotte-Levisage sur La rêveuse de Saint-Nicolas, une toue sablière sur laquelle, durant une heure, il vous raconte avec passion, le rapport entre l’homme et la rivière et l’importance que celle-ci a eue dans l’industrialisation de la ville. C’est une vision intéressante sur Le Mans, différente de celle de la cité Plantagenêt.
Durant la visite, vous verrez les murs de l’enceinte romaine, le kilomètre 0 de la portion navigable de la rivière, les guinguettes qui bordent la rivière et aussi un peu de street art, comme cette oeuvre de Heol Art qui représentent 17 ouvrières qui travaillaient autrefois dans cette manufacture de tabac.
Je vous invite à réserver cette sortie estivale sur le site de l’Adaf, l’association au développement des activités fluviales.
Nuit à la Maison Saint-Pierre, une chambre d’hôte au coeur de la cité
C’est à deux pas de la cathédrale Saint-Pierre que Madame Chantal Le Priol me reçoit dans sa sublime maison. Derrière une porte bleue se trouve un joli patio, avec de nombreux érables du Japon, et puis cette maison joliement rénovée. « Je l’ai achetée en ruine » me confit madame Le Priol. Après un an de travaux, elle décide d’ouvrir sa chambre d’hôte pour « partager sa maison ». Passionnée par le Japon, de nombreuses photos accrochées aux murs rappellent ce pays lointain.
A la Maison Saint-Pierre, Madame Le Priol loue 3 chambres spacieuses. J’avais celle avec vue sur la Sarthe et les jardins de l’évêché. Un conseil : prenez le temps pour le petit-déjeuner. Gourmand vous aurez droit aux confitures, salade de fruit et cake faits maison et aux conseils de la propriétaire pour les visites les incontournables du Mans. C’est une très belle adresse au coeur de la cité Plantagenêts, point de départ idéal pour partir à pied à la découverte de ce coeur historique.
Visiter le Mans en 24 heures : carnet pratique
Arriver en train au Mans
Le train est le meilleur moyen d’arriver au Mans depuis Paris, Nantes, Angers ou Rennes. La gare se situe à seulement 10 mn en tram de la cité Plantagenêt.
Arriver en voiture au Mans
Venir au Mans en voiture vous permettra de sortir de la ville et d’aller, par exemple, vous balader dans le département, découvrir ses petits villages et ses forêts. Si vous comptez rester au Mans, vous n’aurez pas besoin de voiture puisque le centre se découvre à pied et les sites les plus éloignés, comme l’Abbaye de l’Epau et l’Arche de la nature, sont desservis par le tram ou le bus.
Le Mans est facilement accessible via l’A11 depuis Paris, Nantes ou Angers, l’A81 si vous venez de Rennes ou Laval et l’A28 si vous venez de Tours ou de Normandie.
Où se garer à proximité du Vieux Mans ?
Vous pouvez vous garer dans l’un des parkings de la place des Jacobins (parking des quinconces ou des Jacobins). Il y a un tarif nuit intéressant.
Visiter Le Mans avec un guide
J’ai passé ma matinée à découvrir la cathédrale Saint-Julien et la cité Plantagenêt avec Nathalie Jupin, une guide passionnée qui sait à merveille présenter l’histoire de sa ville, et la rendre ludique. De nombreuses visites guidées sont organisées par la Maison du Patrimoine dont elle fait partie de l’équipe de guides. A pied, à vélo, autour de l’architecture, la nature ou même du street art, il y en a pour tous les goûts.
Pour réserver vos places, il suffit de vous rendre à la maison du Pilier-Rouge (41/43 Grande rue) et pour connaitre les dates et horaires des visites à venir, je vous conseille d’appeler au 02 43 47 40 30.
Mes bonnes adresses au Mans
Voici toutes les adresses des lieux cités dans cet article :
- Librairie Bulle – 13 Rue de la Barillerie
- Espace bis – 18 Rue Saint-Martin
- Brasserie Septante-Deux – 21 Rue du Dr Leroy
- Domaine de l’Epau – lieu dit le verger Arche de la Nature, 72530 Yvré-l’Évêque
- FIAA – 8 allée Leprince d’Ardenay (accès par la Visitation)
Pour un déjeuner sur le pouce, vous trouverez à la Visitation, un camion de Street Food, le camion de Mamie, je n’ai pas testé mais j’ai trouvé l’endroit très sympa pour un jour où il fait beau. Et selon les locaux, il parait que c’est une très bonne adresse !
Où dormir au Mans ?
Je vous recommande vivement de dormir dans une chambre d’hôte, vous pourrez ainsi recevoir les recommandations de ceux qui vous accueillent en fonction de ce que vous aimez. Les conseils de locaux n’ont pas de prix ! La Maison Saint-Pierre se trouve à deux pas du parvis de la cathédrale, idéalement située pour découvrir le Vieux Mans.
Adresse : 25 rue des Chanoines – Contact : Madame Le Priol – Téléphone : 02 43 87 25 39
Quand visiter Le Mans ?
La ville se visite toute l’année avec une préférence du printemps à l’automne pour profiter des beaux jours. Attention, si vous n’êtes pas adepte des sports mécaniques, évitez le week-end des 24 heures du Mans, qui se déroulent généralement en juin mais qui en 2021 se dérouleront le week-end du 21-22 août. Ce week-end-là les logements sont pris d’assaut et sont généralement plus chers qu’en temps normal, et ce dans un rayon assez large, qui peut aller au-delà des frontières de la Sarthe.
Chaque été, les murs du vieux Mans s’animent avec la Nuit des Chimères. Sur l’enceinte romaine, la cathédrale, et dans la cité plantagenêts, des projections vidéos offrent un autre regard sur la ville. Normalement, la nuit des Chimères se déroule tous les soirs en juillet et août.
Que faire en Sarthe, au-delà de la visite du Mans ?
Le Mans est la porte d’entrée vers la Sarthe, un département tourné vers la nature et l’agritourisme. Durant mon séjour, je suis allée à la rencontre de quelques personnalités aux initiatives intéressantes. Je vous en dis plus dans d’autres articles :
Reportage réalisé avec le soutien de Sarthe Tourisme
3 commentaire
merveilleux article ! j’ai hâte de retourner au mans voir certaines choses que vous révèlez et que je ne connaissais pas. mais pourquoi ne pas citer le circuit (un des plus connu du monde) et le musée qui s’y trouve ?
Merci Patrick. Je ne les cite pas tout simplement parce que je n’y suis pas allée. Le musée pourrait m’intéresser mais là en une journée je n’ai vraiment pas eu le temps d’y aller. Peut-être lors d’un 2nd séjour 🙂
merci pour votre réponse tout à fait raisonnable, adeline. je pense que, même si on n’est pas une « mordue » des sports mécaniques, le musée vaut une visite. si vous vous intéressez à la moto, je vous conseille les 24 heures moto (qui ont déjà eu lieu cette saison). l’ambiance est extraordinaire est le milieu est plus accessible que celui des grands prix (motogp) et des 24 heures auto. bien cordialement, patrick bodden